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 Les secrets de Graveyard

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Terry Ogan

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MessageSujet: Les secrets de Graveyard   Les secrets de Graveyard Icon_minitimeVen 10 Sep - 13:21

Jason Momoa est né en 1972 dans le quartier de Little Haiti à Miami d'une mère prostitué et d'un père inconnu. Il eut une enfance misérable. Il s'enfuit de chez lui à 15 ans après que son beau-père, totalement ivre, lui taillada le visage avec un tesson de bouteille. Récupéré par une rebouteuse de Downtown après des jours d'érance, il faillit mourir d'une infection dut à la blessure au visage. Après sa guérison, la vieille femme lui fit découvrir ses pouvoirs et le guida vers sa vie future. Deux ans se sont passé depuis leurs rencontre. La rebouteuse fit passer le jeune garçon pour mort à l'aide d'un faux acte de décès et lui donna son nouveau nom : Graveyard. Un matin, la vieille appela le jeune garçon sur le pas de la porte d'entrée. Elle montra du doigt une chaise en bois sur laquel était posé un long manteau de cuir et un chapeau de précheur. Elle mis la main sur son épaule et lui dit que c'est à lui maintenant d'aller répandre la terreur, puis elle s'en alla disparaissant dans la brume.


Dernière édition par Terry Ogan le Sam 11 Sep - 7:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les secrets de Graveyard   Les secrets de Graveyard Icon_minitimeVen 10 Sep - 15:56

Extrait du journal intime de Jason Momoa
Le 18 Avril 1990

Voila déjà un an que je suis livré à moi-même dans les rues de Miami. Un an depuis que la vielle bique m’a planté sur le pas de la porte avec pour seul lègue ce long manteau et ce chapeau. J’ignore toujours ce qu’elle veut de moi. Elle m’a apprit à me servir de mes pouvoirs, mais dans quel but. Que cherchait elle en venant à mon secours. Est-ce la rédemption pour des péchés passés qu’elle souhaitait obtenir. Je ne le saurais certainement jamais. Tout ce que je sais, c’est qu’aujourd’hui, je suis seul. Je subsiste en usant de mes pouvoirs psychiques. Je suis très prudent, comme on me l’a apprit, mais je crains que ce ne soit plus suffisant. Plusieurs rumeurs courent dans les rues. Selon toute vraisemblance, une journaliste cherche à rencontrer Jason Momoa. Cette personne ne croit pas à sa mort. Techniquement, cette femme a raison, mais je préfèrerai que ça ne se sache pas. Que dois-je faire ? C’est une femme très obstinée. Dois-je l’ignorer ? Dois-je tacher de la convaincre de ne rien révéler ? Dois-je la tuer ? Tant de questions et aucune réponse satisfaisante.


Le 22 Avril 1990

J’ai décidé de rencontrer cette journaliste sous un faux nom, histoire de découvrir ce qu’elle savait. Elle disait s’appeler Pénélope Sanchez. Elle avait de captivants yeux marron et une peau superbement colorer par le soleil. Ces cheveux noir, long et bouclé dansaient une salsa endiablée rythmé par le vent fort de ce matin de printemps. Ces jambes brillant comme du satin semblaient ne pas finir de monter et pourtant elles étaient surplombées par des hanches troublantes mis en valeur par une robe courte d’un rouge feu. Est-ce ça le désir ? Peu importe, elle m’avait dit que ma génitrice ne croyait pas non plus que je sois mort. C’est très ennuyant. J’avais espérer qu’elle m’oublie. J’avais espérer qu’elle continu à vivre sa petite vie de merde, à vendre son corps à des étrangers. Mais cette journaliste avait des doutes. Mes réponses évasives ne l’ont pas satisfaite. Je le sentais bien. Ma seule chance était de la manipuler comme tant d’autres personnes avant elle. J’ai honte aujourd’hui d’avoir fait ça, mais je l’ai envoyé dans un garage dirigé par un gang connu dans les rues pour leur violence et leur sadisme. J’ai d’autant plus honte qu’au moment où j’écris ces lignes, je lis la nécrologie de cette journaliste dans les pages de mon journal. Cette femme est morte à cause de moi. Cette femme qui avait provoqué un tel émoi dans mes entrailles. Maintenant, des doutes envahissent mon cœur. Suis-je un être malfaisant ? Suis-je un démon ? Encore une fois, je n’ai aucune réponse à mes questions. Je n’ai pas le choix, je dois prendre la route et découvrir qui je suis. Je vais mettre mon chapeau et mon long manteau et je vais marcher sans but pour voir où mes pas vont me conduire et qui sait, peut-être qu’au détour d’une route, je découvrirais enfin si je suis un mec bien ou un sale type.
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MessageSujet: Re: Les secrets de Graveyard   Les secrets de Graveyard Icon_minitimeSam 11 Sep - 9:42

Extrait du journal intime de Jason Momoa
Le 29 Avril 1990

Je suis enfin prêt à partir sur les routes. J’ai préparé mon sac avec quelque affaire de rechange, rien d’exceptionnelle, juste l’essentiel. Quelques sous vêtements, un pantalon et deux chemises compose la plus grande partie de mon bagage. J’ai aussi acheté une paire de chaussure de marche. Le vendeur m’a assuré qu’elle pouvait supporter tout les types de terrain et que les coutures étaient étanche du moment qu’on ne va pas nager avec. J’espère qu’il a dit vrai, parce qu’à 79,99 $ la paire, je n’aimerais pas avoir été arnaqué. Dans le même temps, je ne les ai pas payés. J’ai convaincu l’aimable vendeur de me les offrir. Ça a quand même du bon d’être un monstre. Je me suis aussi équiper d’un petit réchaud et de nourriture en boite. Il parait que c’est un français qui à créer la conserve. Ils sont peut-être pas si con ces frenchis. Un jour, qui sait, j’irais sans doute voir leur capitale, comment c’est déjà son nom……Paris. Mais en attendant que j’apprenne le français, je vais me rendre à Orlando. J’ai vu une affiche sur un parc d’attraction qui s’appelle Universal Orlando Resort qui ouvrira l’année prochaine. Y a peut-être du boulot sur le chantier. Bosser, c’est quand même une drôle d’idée. Je pourrais sans peine avoir tout ce que je veux. Tout, mais pas ce que je recherche véritablement et comme il est écrit sur les affiches de recrutement de l’armée, les expériences forment le caractère. Alors expérimentons une vie droite et honnête, enfin dès que je suis arrivé à Orlando et que j’ai du boulot. Il est tant d’aller à la gare routière et de faire une fois encore mon numéro d’hypnotiseur pour avoir un billet à l’œil.


Le 06 Mai 1990

Voilà, je suis à Orlando. C’est une très belle ville dont l’économie est basée essentiellement sur le tourisme. Ce qui veut dire que je n’ai pas trouvé de piaule à louer avec un loyer abordable dans le centre ville. J’ai dut aller jusqu’à Pine Hills pour trouver une chambre de 12 m² à 50 $ la semaine. Je ne vais pas jouer le difficile, j’ai au moins un toit sur la tête. Oui j’ai effectivement un toit sur la tête à tel point que je suis obligé de me baisser à certain endroits pour ne pas me cogner à la soupente. Les murs manquent un peu de caractère tout de même. D’un blanc jaunit par le tabac, on y voit ici et là des traces plus sombres dont je n’ose imaginer la provenance. Une fenêtre ridicule, dont l’ouverture s’est avérée salutaire pour mes narines compte tenu de l’odeur abominable qui régnait dans ce trou, donne sur la rue grondante de vie et d’activité en tout genre. En tout cas la vie d’homme honnête n’est pas si facile. Résister à l’envie de lobotomiser Mike, le patron du restaurant dans lequel j’ai trouvé du boulot, relève du miracle. J’ai faillit oublier, j’ai trouvé un boulot. J’aurais aimé obtenir un poste de manœuvre sur les différents chantiers de la ville, mais ils n’embauchaient pas. Alors, je me suis rabattu sur le premier truc qui s’est présenté. Je fais la plonge dans un resto. Il a l’air de bien marché, si je prends en compte le nombre d’assiette que je dois me taper, sans compter les gamelles et les plats de présentation. C’est vraiment un job de merde. Heureusement, il y a Debby. Elle est serveuse dans le restaurent. Mike l’a engagé pour ses atouts physiques comme elle dit. C’est sûr qu’elle n’aurait pas eut le travail avec son QI, mais c’est une gentille fille. Elle est arrivée à me faire rire, moi qui ne ris jamais. Elle m’a fait découvrir Orlando et m’a fait oublier ma peine.


Le 13 Juin 1990

Une vie d’homme normal, c’est aussi souffrir comme un homme normal. Comment peut-on supporter de sentir une telle douleur ? J’ai posé le bouquet de fleur que j’avais acheté pour Debby. Debby, elle qui était si douce, si innocente. Comment un être humain peut faire de telles choses. Comment Mike a-t’il put faire une telle chose. Lacérer son si beau corps avec un couteau de cuisine. Et moi qui me prenais pour un monstre. L’être humain n’a pas besoin de pouvoir pour être un monstre, c’est dans sa nature. Debby m’avait donné la clé de son appartement de Haraison Estates. Au moment où la clé s’enfonça dans la serrure, je l’ai sentit. Cette même sensation qui me prenait à la gorge quand mon beau-père rentrait à la maison ivre d’alcool et de colère. Cette même sensation qui me torturait l’estomac avant qu’il me batte avec le premier objet qui lui tombait sous la main. Au moment où je tournais le bouton de la porte d’entrée, je savais que j’allais découvrir l’œuvre du mal humain. Tout en m’approchant du corps ensanglanté de mon pauvre amour, mon esprit captait les images de pensés persistantes. Des images de haine et de jalousie effleuraient la surface calme de ma psyché. Tout était clair, Mike avait tué Debby parce qu’elle avait refusé de se donner à lui. Je suis partie sans attendre la police. De toute façon, ces idiots m’aurait arrêté. Avec la gueule que je me paye, les flics n’auraient jamais cru que je puisse être le petit ami de Debby. Maintenant, je suis là assis sur le lit miteux de ma piaule. Je sais se qu’il me reste à faire. D’ailleurs, mon sac est déjà prêt. Mais avant de quitter Orlando, il me reste une dernière chose à faire. Profite bien de tes derniers instants de lucidité Mike, car cette nuit, tu vas connaitre l’enfer. Je ne te tuerais pas, ça serait trop simple et trop doux. Mike, ce soir, je vais loger dans ton crane les pires hallucinations que tu puisses imaginer.
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